En ce Lundi 16 Août 2010 les troupes Austro-Russes du Prince Marievsky rencontrèrent les unités du Maréchal Xavier près du village de Glois.
Les Français devaient arrêter l'avance des alliés et reprendre le pont sur le ruisseau de Glois. Xavier avait sous la main une armée de plus de 6000 points comprenant 1 division d'infanterie de ligne, 1 brigade de cavalerie légère et en réserve 1 division de cavalerie lourde, le tout soutenu par 3 compagnies d'artillerie.
Les Alliés, qui étaient les attaquants, disposaient d'une armée de 6700 points comprenant 1 division d'infanterie autrichienne, 1 brigade mixte russe, le tout appuyé par 1 grosse brigade de cavalerie légère de la garde russe.
Maréchal Xavier Comte de Corbelin
Prince Marievsky
LA BATAILLE
Xavier lance son Dé de commandement et sort un 4 qui lui donne une
capacité de commandement moyenne et le droit à 4 unités leurres.
Marievsky lance son Dé et sort un 6 qui lui donne une capacité de
commandement excellente et le droit à 6 unités leurres.
Dans le scénario, 1/3 des troupes alliées devaient se trouver de l'autre
côté du pont et traverser le ruisseau. Soutenu par 1 batterie légère et des
grenzers en tirailleurs le long des berges, les colonnes traversent le
ruisseau. Sur le plateau de l'église, la brigade allemande s'avance pour
appuyer le passage des Croates. Les Français sont retranchés sur la colline
boisée et observent sans bouger.
Les jägers sont aux prises avec les voltigeurs français tandis que les fusiliers
hongrois se déploient. Un bataillon français apparait sur l'arrière du bois
mais reste sur place.
Sur l'aile gauche, les troupes russes immobiles sont soumises au pillonnage
de l'artillerie française. Mais Marievsky a placé tout ses leurres au centre et
les français s'acharnent dessus sans faire de pertes sur les vrais troupes
placées en arrière de la ligne de front. Au bout de 4 tours les Français
envoient des éclaireurs et découvrent la supercherie. Les ordres sont
envoyés aux batteries et les tirs se concentrent maintenant sur les régiments
d'infanterie russes. Les soldats serrent les rangs et restent sur place malgré
les pertes.
Pendant ce temps, les Autrichiens ont donné l'assaut à la colline boisée.
Les unités françaises sont battues. L'aile gauche de Xavier risque d'exploser.
Les forces françaises en réserve entrent sur le champ de bataille.
Les bataillons de grenadiers réunis se dirigent vers l'aile gauche.
Les cuirassiers de la réserve lance une charge sur la cavalerie russe qui
cherchait à tourner les troupes françaises mal en point. Après un premier
succès, ils sont obligés de tourner bride sous les feux croisés de l'ennemi.
Un bataillon polonais qui s'était avancé en soutien se replie également.
Le maréchal Xavier n'écoutant que son courage mêne la contre-attaque.
Malheureusement il est blessé et est obligé de quitter son commandement.
Démoralisés par la blessure de leur chef, les Français partent en retraite
sous les "Faterland, Fatarland et les Hourras".
A la prochaine...!
(Champ de bataille de Waterloo)